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Début du contenu

Sur une feuille de papier, le mot profit est au-dessus de graphique dessiné à la main. Il y a un crayon, une règle et une calculatrice en avant-plan.
Selon Carl Rhodes, professeur de gestion à l'Université Macquarie de Sydney, le capitalisme conscient serait un peu comme le greenwashing : adopter des bons comportements, mais que de manière publique. PHOTO : iStock
Publié le 7 décembre 2022

Avez-vous remarqué que de plus en plus d'entreprises prennent position sur des enjeux sociaux? Certaines vont arborer le drapeau LGBTQ, ou encore dénoncer l'intimidation ou la masculinité toxique. Fabien Loszach, spécialiste en marketing, explique que ce virage progressiste adopté par certaines firmes pourrait être qualifié de capitalisme conscient ou même de... woke. Il nous révèle comment cette tendance a atterri sur le radar et quelles sont les critiques qui l'entourent. Alors, est-ce seulement une stratégie publicitaire ou une réelle volonté d'affirmer ses responsabilités sociales?

« Le professeur Carl Rhodes critique ce capitalisme woke. Il dit que les motivations des entreprises sont d’abord des motivations de communication et d’image de marque. D’après lui, on veut surtout améliorer la perception de ces entreprises auprès des jeunes urbains diplômés et influents. »

— Une citation de  Fabien Loszach

Dans cette chronique, Fabien Loszach prend également un moment pour réfléchir au terme woke qui a, selon lui, été utilisé à toutes les sauces ces dernières années.

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